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Immigration : la solution …

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Immigration.
Qu’entendons-nous sur le sujet ?
 C’est un scandale de laisser mourir des migrants, il faut les aider, les accueillir
 C’est à cause des immigrés qu’il y a du chômage en France, interdisons les arrivées. Fermons les frontières.
 Refuser 1784 migrants dans une région de 7.7 millions d’habitants, c’est ridicule. Un migrant pour 4000 habitants, cela ne se voit même pas.
 C’est parce que les gouvernements successifs, toutes tendances confondues, ont laisser faire depuis des dizaines années que nous sommes aujourd’hui envahis, place aux français métropolitain de souche
 France des droits de l’homme, France terre d’asile … pour toujours.
 Ces étrangers piquent le travail des français, vivent à leurs crochets avec l’aide sociale, et veulent imposer leur style de vie et leurs pratiques sociales et religieuses. Stop.
 S’il n’y avait pas l’arrivée de tous ces immigrés, qui ferait les sales boulots dont ne veulent pas les français
 La France a toujours été une terre d’accueil, elle n’est en fait composée que « d’étrangers » intégrés progressivement au fil du temps
Rappelons quelques données factuelles
 Environ 7 milliards d’humains sur terre
 Bientôt 70 millions de Français, c’est seulement 1%
Malgré toutes les critiques que l’on peut faire à la France et aux français (et ce livre n’en manque pas), je fais partie de ceux qui pensent qu’il fait quand même bon vivre en France. Et que les conditions de vie sont globalement meilleures que dans l’ensemble du monde, même s’il est évident que cela peut être dur pour certains.
Je pense aussi que cet avis est partagé par de nombreux humains sur terre, et même si je sors ce chiffre du chapeau, ne peut-on imaginer que sur les 7 milliards d’humains, il y en a 2 ou 3 milliards qui sont persuadés, à tort ou à raison, qu’ils seraient bien mieux en France que chez eux ?
Disons 2.5 milliards, et supposons que seulement 1% transforment l’idée en projet. 1%, ce n’est pas beaucoup quand on est persuadé que l’on peut vivre beaucoup mieux en allant ailleurs. Mais même avec cette hypothèse très basse, cela fait 25 millions de nouveaux arrivants à intégrer avec les 66 millions actuels de français. Ce n’est pas un pour 4000, mais un pour 2.6, cela se voit !
France, terre d’asile, le principe ne peut être appliqué sans réserve, sans limite.
Oui mais « La France a toujours été une terre d’accueil, elle n’est en fait composée que « d’étrangers » ». La formule est sans doute excessive, mais pas totalement fausse, toutefois je ne vais pas revenir
 D’une part sur l’histoire de la France actuelle qui s’est effectivement constituée progressivement en associant divers territoires et peuples
 D’autre part sur des immigrations (polonaise, portugaise, italienne, …) pas si vieille que cela, et qui semble ne poser aucun problème aujourd’hui
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Pour identifier ce que je crois être le problème, je vous invite à jouer au jeu « d’où vient la dame ». Vous ne le connaissez sans doute pas. Quand j’étais gamin, à la frontière des années 50/60, habitant la région parisienne, je prenais le bus et le métro. Histoire de passer le temps, je regardais les gens autour de moi en essayant d’imaginer leur région d’origine. Tiens, la dame à une tête de bretonne, le monsieur doit venir du sud, un provençal peut-être. Quelle était le taux de réussite de mes conclusions, je n’en sais rien. La bretonne venait peut-être de Strasbourg ou de Pologne. Le provençal était peut-être portugais, italien ou auvergnat …
Mais une chose est certaine, une très grande majorité d’entre eux pouvait, à mes yeux, être breton, alsacien, provençal, auvergnat, … ou venant de toutes régions métropolitaines. Ceux qui manifestement venaient d’ailleurs étaient assez rare (largement moins de 10%).
Si par curiosité, je refais l’exercice aujourd’hui, grosse différence. Ceux qui manifestement viennent d’ailleurs représentent souvent plus de 50% : faites le test en regardant l’arrivée d’un train dans une gare de banlieue de la ligne D du RER. Pour l’anecdote, j’ai souvenir d’un trajet sur le bus 285 entre Orly et Juvisy : 23 voyageurs, si j’enlève mon épouse et moi, seule une passagère pouvait être d’origine bretonne (et d’avant la marée noire, comme l’a dit avec beaucoup d’humour le maire, noir, d’un village breton). Et nous n’avons pas fait le trajet avec l’équipe de foot de Cote d’Ivoire ou du Ghana en déplacement, le ratio était également très élevé dans d’autres trajets similaires. Comment ne pas alors ressentir l’impression d’être envahi ?
Car c’est cela le problème ! Le sentiment d’invasion.
Et vous le savez, le français ne supporte pas l’invasion, et il est très fier de lutter contre :
 Astérix se bat, et résiste inlassablement contre l’invasion romaine
 Nos livres d’histoire présente comme une victoire le fait que Charles Martel arrête l’invasion arabe à Poitiers en 732
 Plus récemment, nous commémorons encore aujourd’hui, et nous sommes fiers de notre résistance contre l’invasion allemande (même si depuis, nous sommes devenus copains).
C’est dans ses gènes, le français ne supporte pas l’invasion. Mais n’est-ce pas aussi une caractéristique de l’être humain, français ou pas ?
Ma proposition est donc simple : prenons les mesures pour, faisons-en sorte, que ce sentiment d’invasion n’apparaisse pas. Et en fait, la solution parait simple, il suffit de laisser du temps au temps, et de faire les choses lentement, progressivement.
Ces dernières années, les choses ont été beaucoup trop rapides. Puisque les changements sont manifestes, cela se voit trop, perturbent les habitudes et modes de vie des anciens, génèrent le sentiment d’invasion, et donc l’opposition, la résistance et une période de conflits qu’il vaudrait mieux éviter dans l’intérêt de tous, anciens et nouveaux arrivants.
Donc provisoirement au moins, stop aux nouveaux arrivants, stop aux demandes de changements de style de vie proposés par les arrivants récents (même si leur carte d’identité indique « français »)
Je terminerai ce chapitre par une lueur d’espoir qui confirme mon explication : ma propre petite fille (encore très jeune) comprend parfois mal mes propos sur l’arrêt des nouvelles arrivées et sur le sentiment d’invasion évoqué. C’est logique, elle a toujours vécu dans cet environnement, elle n’a donc pas ce sentiment d’invasion, c’est une situation normale pour elle. Ses copains et copines sont
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largement venus « d’ailleurs », certains diraient que « les français de souche » sont désormais minoritaires, mais cela se passe bien pour les jeunes. Cela valide ma proposition, ralentissons le rythme (stop immédiat provisoire car nous avons pris trop d’avance) et donnons le temps au temps.
Mais j’avoue que je vivrai très mal le fait que ses copains et copines, forts sympathiques à son goût, arrivent à la convaincre de porter le voile, ou pire, de faire le jihad.
Ce sentiment d’invasion n’est pas équitablement partagé en métropole.
Et peut-être certains ont du mal à comprendre ce chapitre, et me qualifie de raciste, d’esprit étroit refermé sur lui-même, qui refuse l’ouverture sur le monde et la solidarité.
Est-ce leur cas, je ne sais pas, mais il est certain que certains français ne connaissent pas ce sentiment d’invasion. Pour l’illustrer ce point, une anecdote. J’ai récemment participé à une cérémonie dans un petit village situé dans ce que certains appellent « la France profonde ». Pas loin de 200 personnes dans l’église, une bonne partie du village participe. Et selon mon habitude (c’est devenu l’obsession de l’envahi ), je calcule le ratio de ceux qui manifestement ont des origines « hors métropole ». Surprise ! Si le dénominateur approche les 200 personnes comme indiqué, le numérateur est … zéro ! Même s’il y a probablement des bretons, nordistes, basques, ou …, pas une seule personne, qui, à l’évidence, ne pourrait être issue de ce petit village du centre sud de la France. Pour eux, c’est clair, le sentiment d’invasion que j’ai décrit et ressenti, connais pas !
Faisons-en sorte qu’ils ne connaissent jamais.

Complément le 19 octobre 2016 : Soutenus par les associations, 50 migrants occupent un local SNCF désaffecté dans les Alpes Maritimes.
Le responsable d’une association explique « Les migrants passent souvent ici. Jusqu’à 10 ou 15, nous arrivions à les héberger chez les uns et les autres. Le jour de l’orage, ils étaient 60, il fallait trouver plus grand. Ils sont environ 1000 à attendre encore à Vintimille »
Même si je ne partage pas ses solutions, il a très bien compris le problème. C’est gérable à petite échelle, mais cela ne l’est plus quand cela devient une invasion. Quel local envahira-t-il quand ils seront 1000, 10 000, 100 000, … Nous avons mis le doigt dans l’engrenage. Il faut vite le couper, cela est pénible, cela va faire mal. Mais sinon il faudra couper le bras, cela sera pire. Et sinon, … plus de problème pour nous, nous n’existerons plus.

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